PLAF, il s'agit de l'acronyme
de mes prénoms et nom :
Pierre Louis Antoine Faure
Mon atelier est à Montillot dans l'Yonne (89) près de Vézelay
Décliner l’art graphique et la sculpture sous nombre de leurs potentiels résume bien mon processus créatif.
Mes œuvres ont été exposées depuis les années 80, tant dans des galeries que dans des salons nationaux et internationaux.
Vous pouvez découvrir mes œuvres lors d'expositions ou à mon atelier en prenant rendez-vous.
Pour le CV complet voir "parcours" dans le menu .
Expositions programmées :
· 19-20 octobre : Participation à l’exposition collective « salon d’Automne » à Auxerre.
· 9-17 novembre : Participation à l’exposition collective "Une touche d'Art" à Coupvray 77700.
· 9 au 22 décembre 2024 : Participation à l’exposition collective « Les Minis » à la galerie du Génie de la Bastille à Paris.
· 7-9 mars 2025 : Salon international d’art contemporain ART3F, Nantes 44300.
Contact
L’art ? Pour s’exprimer, pour dire l’indicible, dire des sensations, dire des sentiments, dire des désirs, dire des angoisses, dire des jubilations. Pour cela j’explore, depuis des années, divers médiums qui me semblent en phase avec ma sensibilité du moment.
Le plâtre, matériau merveilleux et ses patines permettent de renouer avec les ors d’antan mais ne me permettent pas d’explorer la lumière. Nombre de mes plâtres trouvèrent leur public.
Le verre est une révélation et m'a permis de réaliser plus d’une centaine d’œuvres que j’ai pu aussi largement exposer. En même temps la peinture à l’eau laisse mon esprit concrétiser des images. La peinture ? des toiles ? Je ne suis pas encore satisfait de mes résultats… travailler encore.
La photographie a toujours été un médium qui m’a fasciné et depuis des années ; le remaniement numérique me semblait être une palette de liberté très forte. Cependant ce n’est que depuis peu de temps que j’ai réussi à m’exprimer comme je le voulais avec la photo arrangée numériquement.
Parallèlement j’ai pu matériellement me réinvestir dans la sculpture en découvrant la fonderie du bronze. Cela m’offrit, m’offre, un espace de liberté fantastique.
Cependant j’affectionne aussi des modes d’expression plus anecdotiques, que je trouve très puissants ; par exemple l’estampage : « Imprimer » un lieu de passage historique est une belle trouvaille pour parler de l’Histoire. Et maroufler le lin imprimé sur un bois doré à la feuille, renoue avec les patines de mon passé artistique.
Je ne m’interdis aucune technique, aucun médium.
En fait tous les médiums, après en avoir travaillé le sens et testé certaines limites d’expression, arrivent à se compléter et m’apportent une réelle jubilation.
L’art m’est jubilation.